i jâââ‰âÂ¢ÃÆÃ©tais un arbre
Je serais sans ḫ̩sitation un saule pleureur
Le fardeau de mes tourments alourdit mes branches
Jusquâââ‰âÂ¢ÃÆÃ en racler le sol
Chaques insaisissables feuilles sont comme des larmes
Indice de mon long pass̮̩ lugubre
̢̮⬠lâââ‰â¢automne de ma vie, ces larmes couvrent le sol de mon ̢̮me,
Elles cachent ÃÆÃ la face du monde tout mon d̮̩sarroi
Et mon ignominie dâââ‰â¢avoir an̮̩anti de mon ombre
Les bourgeons en fleurs du jardin de la vitalit̮̩ printani̮̬re
Mon tronc rugueux replier sur lui-m̮̻me
Cache mes racines qui courent
Sur de consid̮̩rables ann̮̩es, ne laissant jamais pr̮̩dire
Les perspectives obscures de son destin
Je suis lâââ‰â¢arbre de la mortification
Sur lequel aucun oiseau ose y poser les pattes
Pour y ̮̩riger son nid ou y ̮̩lire domicile
Je suis le saule pleureur qui nâââ‰â¢en fini plus de d̮̩vers̮̩ ses larmes
De se repentir dâââ‰â¢avoir r̮̩pandu tant dâââ‰â¢obscurit̮̩ sur lâââ‰â¢existence des autres
Il y a bien quelques corbeaux qui en survolant ma d̮̩solation
Qui crient inlassablement leur objection
De me surprendre sur leur parcours
Je serais sans ḫ̩sitation un saule pleureur
Le fardeau de mes tourments alourdit mes branches
Jusquâââ‰âÂ¢ÃÆÃ en racler le sol
Chaques insaisissables feuilles sont comme des larmes
Indice de mon long pass̮̩ lugubre
̢̮⬠lâââ‰â¢automne de ma vie, ces larmes couvrent le sol de mon ̢̮me,
Elles cachent ÃÆÃ la face du monde tout mon d̮̩sarroi
Et mon ignominie dâââ‰â¢avoir an̮̩anti de mon ombre
Les bourgeons en fleurs du jardin de la vitalit̮̩ printani̮̬re
Mon tronc rugueux replier sur lui-m̮̻me
Cache mes racines qui courent
Sur de consid̮̩rables ann̮̩es, ne laissant jamais pr̮̩dire
Les perspectives obscures de son destin
Je suis lâââ‰â¢arbre de la mortification
Sur lequel aucun oiseau ose y poser les pattes
Pour y ̮̩riger son nid ou y ̮̩lire domicile
Je suis le saule pleureur qui nâââ‰â¢en fini plus de d̮̩vers̮̩ ses larmes
De se repentir dâââ‰â¢avoir r̮̩pandu tant dâââ‰â¢obscurit̮̩ sur lâââ‰â¢existence des autres
Il y a bien quelques corbeaux qui en survolant ma d̮̩solation
Qui crient inlassablement leur objection
De me surprendre sur leur parcours